23/11/1980 PSG-Lens
PARIS SG – RC LENS 3-0 (1-0)
le programme du match
dimanche 23 novembre 1980
Championnat (19ème)
Lieu du match : Parc des Princes (20913 spectateurs)
Arbitre : Claude Bouillet
Composition de l’équipe : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Carlos Abel Braga, Eric Renaut, Antoine Garceran, Dominique Bathenay, Luis Fernandez, Jean-Noël Huck, Nambatingué Toko, Dominique Rocheteau, Sarr Boubacar.
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche
Buts : Jean-Marc Pilorget (30) Dominique Bathenay (62) Sarr Boubacar (75) pour PSG
Avertissement : Luis Fernandez (63)
Remplacements : Jean-François Beltramini pour Dominique Rocheteau (80), Bernard Bureau pour Jean-Marc Pilorget (84)
Huck taclé par M’Pelé
Sans Dahleb et Morin, absents sur blessure, le PSG souffre pendant les trente premières minutes de la rencontre, malmené par des Lensois dominateurs. Baratelli sauve son équipe à trois reprises et Paris semble dans un jour « sans » lorsque Pilorget réussit un slalom dans la défense adverse puis le défenseur droitier frappe du gauche et ouvre le score (30). Le PSG se retrouve après ce but mais le score n’évolue plus jusqu’à la pause. Après une action dangereuse du Lensois Guy Lacombe, stoppée avec autorité par Baratelli (53), le PSG double la mise sur un tir du droit à l’entrée de la surface de réparation… du gaucher Bathenay !
Toko face aux Nordistes
C’est la soirée des paradoxes au Parc des Princes, la balle va mourir sous la transversale du gardien nordiste Hédoire (62). Les Lensois semblent anéantis par ce second but, Boubacar reprend de volée un centre de Rocheteau et met fin aux derniers espoirs des visiteurs (75). Le score n’évoluera plus malgré des nombreuses occasions parisiennes. Le PSG, enfin réaliste, a réussi pour la première fois de la saison son match de reprise après une courte trêve. Peyroche explique cette réussite : « Le score reflète bien la différence qui existait entre les deux équipes en ce qui concerne un domaine qui reste primordial, l’efficacité. Nous avons su aller jusqu’au bout de nos actions et nos trois buts ne sont pas excessifs. »
