26/11/1975 PSG-Nantes
PARIS SG – FC NANTES 2-1 (1-1)
mercredi 26 novembre 1975
Championnat (16ème)
Lieu du match : Parc des Princes (22640 spectateurs)
Arbitre : Michel Kitabdjian
Composition de l’équipe : Ilija Pantelic, Dominique Lokoli, Jacky Novi, Humberto, Denis Bauda, Jacques Laposte, Francis Piasecki, Jean-Pierre Dogliani, Jean-Pierre Tokoto, François M’Pelé, Mustapha Dahleb.
Capitaine : Jean-Pierre Dogliani
Entraîneur : Just Fontaine
Buts : Jean-Pierre Tokoto (12) Jean-Pierre Tokoto (76) pour le PSG, Gilles Rampillon (16) pour Nantes
Les Nantais, décevants, depuis le début du championnat occupent une modeste 13ème place… à égalité avec le PSG. Novi est de retour après la blessure de Bade (cuisse). Devant 20.000 spectateurs, les Parisiens débutent remarquablement et sont récompensés de leurs efforts dans le premier quart d’heure de jeu. Sur une percée de Bauda puis un tir de Dahleb, le ballon parvient à Tokoto qui marque d’une frappe de l’extérieur du pied droit (12). Paris se relâche, le Nantais Rampillon profite de ce moment d’inattention pour égaliser rapidement (16). Avant la pause, l’attaquant des canaris Pécout inquiète sérieusement Pantelic (36 et 39) puis Paris hausse le ton au retour des vestiaires. Le gardien nantais Bertrand-Demanes, très sollicité, plonge dans les pieds de Dogliani (48) avant d’intervenir face à Piasecki (54). Paris pousse, Humberto et M’Pelé, seuls à cinq mètres du but nantais ratent l’immanquable (63).
Heureusement pour les Parisiens, l’attaquant franco-camerounais Tokoto est dans un grand jour : après une première tentative (67), il libère son équipe d’une frappe superbe à 25 mètres des buts. Le ballon termine sa course dans la lucarne (76). Pantelic intervient de façon décisive face à Triantafilos (78) et Paris, après un match complet, s’impose sous les applaudissements du public. Le retour de Novi a stabilisé la défense parisienne. Après ce succès, tous les espoirs restent permis pour les protégés de Fontaine, 9ème du championnat avec seulement quatre points de retard sur le troisième, Saint-Etienne.
bonjour, très intéressantes ces références du psg mais pourquoi neparle ‘ton pas de Lucien PIERRARD, directeur général du psg en 1975-1976, ancien responsable de l’école inter-armée des sports de Fontainebleau et inventeur de mannequins en bois pour l’entraînement au pénalty.
Il n’est resté que deux années à la direction du club, pressenti à l’époque par les dirigents de RTL, mais c’était un grand monsieur, auteur également de manuels sportifs tels que ce lui de la course d’orientation toujours urilisé par l’arméee françaie encore aujourd’hui.
voici quelques infos que vous pouvez rajouter à l’histoire du PSG.