19/08/1977 PSG – Bordeaux

PSG 1972

PARIS SG – GIRONDINS BORDEAUX 1-2 (1-2)

le programme du match

le programme du match

vendredi 19 août 1977

Championnat (4ème)

Lieu du match : Parc des Princes (21096 spectateurs)

Arbitre : Robert Frauciel

Composition de l’équipe : Michel Bensoussan, Jean-Marc Pilorget, Jean-Pierre Adams, Lionel Justier, Dominique Lokoli, Philippe Redon, Bernard Moraly, Jean-Michel Larqué, François M’Pelé, Carlos Bianchi, Mustapha Dahleb.
Capitaine : Mustapha Dahleb
Entraîneur : Jean-Michel Larqué

 

 

Bianchi à la peine face à Furlan et Jeandupeux

Bianchi à la peine face à Furlan et Jeandupeux

Buts : François M’Pelé (35) pour le PSG, Olivier Barthou (6 et 19) pour Bordeaux

Pas de changement dans l’équipe parisienne après le bon résultat en Alsace. Pour la troisième fois en quatre rencontres, le PSG encaisse un but dans les six premières minutes de jeu : Bensoussan repousse faiblement un corner de Giresse et Barthou marque facilement de la tête (6).

Dahleb en action face aux Girondins

Dahleb en action face aux Girondins

Tokoto se rappele au bon souvenir de ses anciens camarades : sa reprise de la tête frappe la transversale, mais Barthou, en embuscade, marque son second but de la tête (19).

Le PSG vaincu malgré Bianchi

Le PSG vaincu malgré Bianchi

Le PSG relève la tête juste avant la pause sur un exploit de Dahleb : l’attaquant algérien mystifie quatre bordelais -gardien compris- et donne une balle de but à M’Pelé qui ne gâche pas cette occasion (35).

Les Girondins, plus décontractés et sûrs de leur capacité, maitrisent assez facilement des parisiens décontenancés.

le PSG face à Bordeaux. Debout : Bensoussan, Adams, Redon, Justier, Pilorget, Lokoli. Assis : M'Pelé, Moraly, Larqué, Bianchi, Dahleb

le PSG face à Bordeaux. Debout : Bensoussan, Adams, Redon, Justier, Pilorget, Lokoli. Assis : M’Pelé, Moraly, Larqué, Bianchi, Dahleb

Troisième défaite en quatre rencontres pour le PSG en état d’alerte et son entraîneur-joueur Jean-Michel Larqué : il pourrait se consacrer uniquement à son rôle d’entraîneur et abandonner le poste de meneur de jeu à Dahleb.

Larqué cherche en vain la formule magique : « Nous avons manqué de sang-froid tout au long de la rencontre et nous avons encore encaissé un but dans les premières minutes du match : cela devient une maladie chronique. »