3 penaltys lors du « classico » PSG-OM, acte 3

Ibrahimovic, héros du PSG-OM

Ibrahimovic, héros du PSG-OM

Le match de dimanche entre le PSG et l’OM s’est résumé à une histoire de penalties : deux réussis par Ibrahimovic pour Paris, contre un échec de Barrada pour Marseille.

Trois penaltys lors d’un « classico », ce n’est pourtant pas une première…

Le 8 janvier 1978, lors d’un PSG-Marseille devenu célèbre par son score historique (5-1 pour Paris) et le départ du président Daniel Hechter à l’issue de la rencontre, Carlos Bianchi avait raté un penalty en tout début de rencontre (1ere minute du match) avant que l’OM n’ouvre le score… sur penalty, grâce au futur attaquant parisien Sarr Boubacar (12).

M'Pelé, bourreau de l'OM dans les années 1970

le but de M’Pelé sur penalty en 1978

En début de seconde période, François M’Pelé sera plus heureux que son compère Carlos Bianchi, avec un penalty transformé tout en force (49).

Le second acte avec un triplé de penaltys remonte au 10 septembre 2006, il y a un peu moins de 10 ans. Mario Yepes, qui avait été déjà sanctionné de deux penalties pour des accrochages peu évidents dans la surface de réparation dix jours plus tôt à Sochaux (défaite du PSG 2-3) est à nouveau à l’origine d’un penalty pour un accrochage sur Zubar, transformé par Mamadou Niang (8).

Penalty et but de Pauleta en 2006

Penalty et but de Pauleta en 2006

Treize minutes plus tard, un nouvel accrochage entre Sammy Traoré et Mamadou Niang, cette fois-ci dans la surface de réparation marseillaise, provoque l’égalisation sur penalty signé Pedro Miguel Pauleta (22). Le sort du match va se jouer en seconde période, avec un nouveau penalty pour l’OM pour une faute de Yepes (à nouveau) sur Niang, transformé en deux temps par Samir Nasri après une première parade de Mickaël Landreau sur la tentative du futur joueur de Manchester City (67).

Dimanche soir, trois penaltys ont donc été encore sifflés, avec une nouvelle fois deux réussites et un échec, même si Nasri en 2006 avait finalement marqué face à Paris. La tradition a donc été respectée lors de ce 87eme « classico »…