23/04/1982 PSG-Lille

PSG 1972

PSG – LILLE OSC 0-1 (0-0)

le programme du match

le programme du match

vendredi 23 avril 1982
Championnat (36ème)
Lieu du match : Parc des Princes (16163 spectateurs)
Arbitre : Michel Dailly

Composition du PSG : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Didier Toffolo, Jean-Claude Lemoult, Luis Fernandez, Sarr Boubacar, Nambatingué Toko, Michel N’Gom, Ivica Surjak
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche

Avertissement : Ivica Surjak
Remplacements : Alain Prefaci pour Thierry Morin (37), Daniel Sanchez pour Michel N’Gom (69)

But : Engin Verel (85) pour Lille

Surjak au duel face à Bergeroo

Surjak au duel face à Bergeroo

Rocheteau (adducteurs) est remplacé au centre de l’attaque par N’Gom. Sur une pelouse abimée, la première période est d’un faible niveau… Un centre en retrait de Surjak mal négocié (7), une frappe de Toffolo (11) côté parisien, deux tirs lillois non cadrés par Bocchi (23) et Francoise (31). Après la pause, Paris frôle la correctionnelle sur un ballon en retrait mal négocié par Toffolo et récupéré par Muslin, mais Baratelli veillait (51). On s’ennuie au Parc, Boubacar puis Surjak réclament en vain un penalty avant une frappe de Toko qui frôle le montant (69) puis une belle reprise de volée de Fernandez (70).

Pilorget en action face aux Lillois

Pilorget en action face aux Lillois

 

 

Le PSG semble avoir pris l’ascendant mais c’est Lille qui va trouver la faille sur un centre de Muslin repris par Verel qui marque de la tête à bout portant (85). Paris aurait pu boire le calice jusqu’à la lie, mais le tir de Françoise est détourné sur sa ligne de but par Pilorget (88). Défaite logique des Parisiens qui ont déjouén  l’unique but de la rencontre à cinq minutes de la fin du match.

Bergeroo, plus fort que les Parisiens

Bergeroo, plus fort que les Parisiens

Quelques instants plus tard, Pilorget sauve son camp en repoussant un ballon sur sa ligne de but. Morin quitte la pelouse sur blessure (claquage), on craint pour le défenseur parisien que sa saison soit terminée, Peyroche explique la contre-performance de son équipe : « Ce soir, nous étions trop fatigués pour nous imposer. »