16/04/1982 PSG-Bordeaux
PSG – GIRONDINS BORDEAUX 2-0 (0-0)
vendredi 16 avril 1982
Coupe de France (1/4 aller)
Lieu du match : Parc des Princes (33373 spectateurs)
Arbitre : Claude Lopez
Composition du PSG : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Eric Renaut, Jean-Claude Lemoult, Luis Fernandez, Sarr Boubacar, Nambatingué Toko, Dominique Rocheteau, Ivica Surjak
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche
Buts : Dominique Bathenay (71 sp) Dominique Rocheteau (83) pour le PSG
Avertissement : Luis Fernandez (53) Dominique Bathenay (57)
Huit jours après la première confrontation avec les Girondins au Parc des Princes en championnat (défaite 0-2), le PSG retrouve Bordeaux pour la première confrontation entre les deux équipes en Coupe de France. Le PSG est privé de Domenech et Dahleb et débute remarquablement, avec une première opportunité pour Boubacar et Toko après un coup-franc de Surjak (6). Paris domine face à des Girondins très prudents mais le score n’évolue pas jusqu’à la pause.
Le match devient heurté après la pause, les joueurs s’énervent à l’image du carton jaune reçu par Bathenay, l’arbitre n’ayant pas apprécié que le capitaine parisien tente lui même de mettre le mur bordelais à distance réglementaire en comptant les pas (57). Paris semble marquer le pas quand Surjak s’échappe côté droit, élimine Kourichi avant d’être fauché par Trésor dans la surface de réparation. Penalty indiscutable, transformé par Bathenay (71).
Un coup du sort pour Bordeaux et Trésor, excellent jusqu’à sa faute sur le penalty. Le défenseur des Girondins va commettre une énorme bévue qui permet à Rocheteau de s’emparer du ballon, de dribbler Pantelic pour inscrire le second but parisien (83). Soirée positive pour le PSG et Georges Peyroche : « Ce que nous avons obtenu ce soir et je pense bon et mérité, nous avons pris le match comme il le fallait. Il y a longtemps que nous n’avions pas réalisé une prestation de cette envergure et nous allons tenter de marquer un but mardi au match retour, car nous n’en sommes qu’à la mi-temps face aux Girondins ».