13/03/1982 PSG-Nancy

PSG – AS NANCY LORRAINE 1-2 (0-1)

samedi 13 mars 1982
Championnat (30ème)
Lieu du match : Parc des Princes (19549 spectateurs)
Arbitre : Michel Vautrot

Composition du PSG : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Philippe Col, Jean-Claude Lemoult, Luis Fernandez, Mustapha Dahleb, Daniel Sanchez, Dominique Rocheteau, Ivica Surjak
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche

Buts : Ivica Surjak (88 sp) pour le PSG, Philippe Jeannol (40) Bernard Zénier (60) pour Nancy
Avertissement : Ivica Surjak (44)
Remplacements : Sarr Boubacar pour Philippe Col (57), Michel N’Gom pour Dominique Bathenay (70)

Surjak remplace Toko, et le PSG souhaite conserver sa 4eme place, qualificative pour la Coupe UEFA. Paris souffre en première période et se procure quelques timides occasions de marquer sur un tir de Rocheteau (9), une frappe de Pilorget (17) puis de Bathenay (30). Nancy attend son heure et va réussir le coup parfait sur sa première tentative : une balle de Zenier pour Jeannol, qui part à la limite du hors-jeu et trompe Baratelli (40). Paris pousse alors mais perd Col, gravement blessé (arrachement des ligaments de la cheville, 57).

Quelques minutes après cette blessure, Nancy marque un second but sur une grossière erreur de Fernandez. Le milieu de terrain parisien rate sa talonnade, Zenier s’en empare et double la mise après un échange avec Rubio(60). Zenier a la balle de 3-0 mais Baratelli s’interpose avant un nouveau coup du sort pour Paris avec la sortie de Bathenay, victime d’un claquage au muscle ischio-jambier (72).

Le PSG termine le match avec six attaquants après l’entrée des remplaçants N’Gom et Boubacar et Nancy déroule : les Lorrains multiplient les occasions d’aggraver le score face à un Baratelli abandonné par sa défense.  Surjak sauve l’honneur en toute fin de rencontre sur penalty (87), mais le PSG est logiquement battu. Peyroche tire le bilan de la soirée : « Une défaite, deux joueurs blessés pour longtemps, c’est la poisse ! Il nous faut repartir,  se remettre au travail et se dire que rien n’est définitivement perdu. »