19/01/1980 Laval-PSG

PSG 1972

STADE LAVALLOIS – PARIS SG 3-1 (1-0)

Fernandez en duel avec Claude Leroy

Fernandez en duel avec Claude Leroy

samedi 19 janvier 1980

Championnat (22ème)

Lieu du match : Francis Le Basser (Laval) (6049 spectateurs)

Arbitre : Alain Delmer

Composition de l’équipe : Dominique Baratelli, Pierre Bajoc, Thierry Morin, Eric Renaut, Philippe Col, Jean-Claude Lemoult, Dominique Bathenay, Joao Alves, Sarr Boubacar, Jean-François Beltramini, Luis Fernandez.
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche

Buts : Sarr Boubacar (72) pour PSG, François Brisson (45) Jacques Perais (58) Erwin Kostedde (75 sp) pour Laval

Avertissement : Sarr Boubacar (60)

Kostedde plus rapide que Bathenay

Kostedde plus rapide que Bathenay

Peyroche titularise Bajoc en replacement d’Abel, rentré tardivement du Brésil et à cours de compétition. Cette absence, conjuguée aux blessures de Huck, Armando Bianchi, Caron, Garceran, Dahleb et Pilorget n’arrange pas les affaires du PSG !.Les deux équipes semblent contractées au cours de la première période : Laval se procure les meilleures occasions de but avec Kostedde (7), Le Roy (23) et Miton (40). Fernandez met Tempet en difficultés et on s’achemine vers ce score de parité. Il reste quelques secondes lorsque François Brisson ouvre la marque de la tête (45). Ce but est fatal aux Parisiens : Baratelli sauve sur un superbe arrêt-réflexe face à Kostedde (48) mais s’incline après un ballon relâché et un dégagement raté conclu par Perais (58). Un but de Boubacar sur un service millimétré d’Alves (73) entretien l’espoir mais Laval prend un avantage définitif sur un penalty réussi par le buteur allemand de Laval, Kostedde (75). Constat cruel pour les Parisiens : le meilleur homme du match est François Brisson, prêté cette saison par le PSG aux Lavallois… Alves a réussi une reprise honorable mais Peyroche est réaliste : « On aurait pu faire illusion plus longtemps mais ce n’était qu’une illusion. Il n’y a rien à redire à la victoire des Lavallois si ce n’est qu’il y avait des absences préjudiciables. »