24/01/1978 PSG-Rouen

PSG 1972

PARIS SG – FC ROUEN 3-1 (2-1)

le programme du match

le programme du match

mardi 24 janvier 1978

Championnat (25ème)

Lieu du match : Parc des Princes (11212 spectateurs)

Arbitre : Jean-Marie Meeus

Composition de l’équipe : Daniel Bernard, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Ramon Heredia, Gilles Brisson, Eric Renaut, François Brisson, François M’Pelé, Philippe Redon, Carlos Bianchi, Mustapha Dahleb.
Capitaine : Mustapha Dahleb
Entraîneur : Jean-Michel Larqué

Buts : Carlos Bianchi (23) Carlos Bianchi (35) Carlos Bianchi (52) pour le PSG, Ignacio Pena (31) pour Rouen

Heredia en duel face à Rouen

Heredia en duel face à Rouen

Le junior Jean-Claude Lemoult fait son entrée dans le groupe professionnel et sera remplaçant pour recevoir l’équipe normande. Malgré un temps très froid, le PSG domine sans inquiéter l’arrière garde rouennaise. Dahleb reprend de volée au dessus (17) mais Rouen, avec les anciens parisiens Barberat et Horlaville, reste dangereux sur des contre-attaques rapides. Redon est à l’origine du premier but parisien : après un contre favorable, il sert Bianchi qui reprend acrobatiquement et ouvre le score (23).

Carlos Bianchi, auteur d'un triplé

Carlos Bianchi, auteur d’un triplé

Le buteur argentin croise trop sa frappe et rate la balle de break (28) et sur une erreur de Gilles Brisson, Pena égalise (31). Paris reprend rapidement l’avantage sur un long centre de Dahleb repris acrobatiquement par l’inévitable Bianchi (35). Une action identique au premier but parisien, Bianchi n’en reste pas là et inscrit son troisième but sur une superbe action collective. Renaut sollicite Redon, Dahleb feinte la frappe et Bianchi est à la conclusion (52).

Tir de M'Pelé

Tir de M’Pelé

Le PSG aurait pu s’imposer sur un score plus conséquent, mais Dahleb, très malheureux, frappe un coup-franc sur la transversale (53) puis son tir échoue sur le poteau (74). Carlos Bianchi, le buteur du jours (trois buts) est ravi et confie : « J’avais marqué deux  ou quatre buts au Parc avec le PSG, jamais trois. C’est fait ! »