23/10/1976 PSG-Bordeaux
PARIS SG – GIRONDINS BORDEAUX 2-1 (1-1)
le programme du match
samedi 23 octobre 1976
Championnat (11ème)
Lieu du match : Parc des Princes (18535 spectateurs)
Arbitre : Marcel Bacou
Composition de l’équipe : Ilija Pantelic, Jean-Marc Pilorget, Jacky Novi, Dominique Lokoli, Denis Bauda, Jacques Laposte, Humberto, Francis Piasecki, Philippe Redon, François M’Pelé, Mustapha Dahleb.
Capitaine : Mustapha Dahleb
Entraîneur : Velibor Vasovic
Buts : Mustapha Dahleb (10) Francis Piasecki (56) pour le PSG, Alain Giresse (30 sp) pour Bordeaux
Remplacements : Eric Renaut pour Jacques Laposte (48), Lionel Justier pour Mustapha Dahleb (73)
Le PSG face aux Girondins. Debout : Bauda, Laposte, Lokoli, Pilorget, Novi, Pantelic. Assis : Humberto, M’Pelé, Redon, Piasecki, Dahleb
Retour de Redon et Pilorget, ils remplacent André et Cenzato. Paris est invaincu depuis un mois et doit confirmer son retour vers le haut du classement. Le PSG ne perd pas de temps : sur un centre de Bauda, Dahleb reprend de la tête et ouvre le score (10), le capitaine parisien confirme son talent exceptionnel (sept buts en 6 rencontres). Les Girondins reviennent au score sur un penalty généreux transformé par Giresse (30) puis après la pause, Piasecki est stoppé de manière suspecte dans la surface de réparation sans intervention de l’arbitre (55).
Quelques secondes plus tard, le PSG reprend définitivement l’avantage sur une énorme erreur du Bordelais Camus : sa passe en retrait est interceptée par Humberto, ce dernier donne à Piasecki qui marque sans opposition (56). Malheureusement, Dahleb se blesse et quitte le terrain sur blessure (claquage à la cuisse, 73). C’est Justier (20 ans) qui porte le brassard de capitaine en fin de rencontre… Malgré une balle de break gâchée par Piasecki et Humberto (84), Paris préserve son succès. C’est le sixième match consécutif sans défaite pour le PSG et Vasovic explique cette résurrection : « Les joueurs ont compris que les résultats dépendaient d’une certaine rigueur? pas seulement sur le terrain, mais à l’entraînement et aussi dans la vie de tous les jours. C’est une discipline librement consentie. »
