14/10/1978 PSG-Nantes

PARIS SG – FC NANTES 1-1 (0-0)

le programme du match

le programme du match

samedi 14 octobre 1978

Championnat (15ème)

Lieu du match : Parc des Princes (27911 spectateurs)

Arbitre : Michel Kitabdjian

Composition de l’équipe : Dominique Baratelli, Philippe Col, Jean-Pierre Adams, Jean-Marc Pilorget, Dominique Lokoli, Jean-Michel Larqué, Jean-Claude Lemoult, Dominique Bathenay, François M’Pelé, Carlos Bianchi, Armando Bianchi.
Capitaine : Dominique  Bathenay
Entraîneur : Pierre Alonzo

Buts : Carlos Bianchi (68) pour le PSG, Loïc Amisse (62) pour Nantes

Remplacements : François Brisson pour Jean-Michel Larqué (46), Eric Renaut pour Jean-Claude Lemoult (80)

Bathenay impuissant face à Bargas

Bathenay impuissant face à Bargas

Retour de M’Pelé et Adams pour affronter le champion de France en titre.  28.000 spectateurs assistent à la rencontre, les deux équipes se neutralisent au cours de la première période : Bathenay, de retour en forme, teste Bertrand-Demanes sur des frappes lointaines (6 et 15) mais la plus belle occasion survient sur un coup-franc de Larqué repris de la tête par M’Pelé sur la transversale (32).

Bianchi en duel face à Bargas

Bianchi en duel face à Bargas

 

 

 

 

En seconde période, François Brisson remplace Larqué (46) et Nantes se montre plus menaçant. Le match s’anime, Baratelli repousse une frappe de Trossero sur Amisse qui pousse le ballon dans les filets et ouvre le score (61).

Bianchi fair-play avec Bertrand-Demanes

Bianchi fair-play avec Bertrand-Demanes

Les Parisiens, pas abattus, ont une vive réaction d’orgueil : Lemoult s’infiltre dans la défense, mais son tir est repoussé par Bertrand-Demanes (65è) puis sur un centre d’Armando Bianchi, M’Pelé remise intelligemment de la tête vers Carlos Bianchi qui égalise (68). Le Parc retient son souffle lorsque Trossero se présente seul face à Baratelli, mais l’attaquant argentin est moins en verve que son compatriote du PSG et rate sa frappe (82). Le résultat final est équitable et Alonzo constate avec satisfaction que Pilorget s’affirme – match après match – au poste de libero.