07/05/1982 PSG-Tours
PSG – FC TOURS 4-3 (3-0)
le programme du match
vendredi 7 mai 1982
Championnat (38ème)
Lieu du match : Parc des Princes (12000 spectateurs)
Arbitre : Jean-Louis Rideau
Composition du PSG : Dominique Baratelli, Philippe Col, Jean-Marc Pilorget, Dominique Bathenay, Didier Toffolo, Luis Fernandez, Sarr Boubacar, Mustapha Dahleb, Nambatingué Toko, Michel N’Gom, Ivica Surjak
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche
Buts : Bruno Steck (2 csc) Michel N’Gom (16) Nambatingué Toko (19) Ivica Surjak (77) pour le PSG, Patrice Augustin (56) Delio Onnis (83) Delio Onnis (87) pour Tours
Onnis, double buteur au Parc des Princes
Répétition générale pour Paris et Tours avant la demi-finale de la Coupe de France. Le PSG veut terminer la saison par une victoire : les Parisiens n’ont marqué que quatre points lors des huit dernières rencontres de championnat. Lemoult et Rocheteau sont au repos et Paris ouvre rapidement le score : sur une action emmenée par Bathenay, Fernandez et Toko, N’Gom est présent pour conclure mais sa frappe et détournée dans les buts de Tours par Steck (2). Baratelli sauve devant Ferrigno (15) puis sur la contre-attaque, Boubacar lance N’Gom qui ne laisse à personne le soin de doubler la mise (16). Trois minutes plus tard, une mauvaise passe de Marais est récupérée par Toko qui marque d’une frappe puissante en lucarne (19). Le PSG mène 3-0 après seulement 20 minutes de jeu ! Après la pause, Onnis sert Augustin pour la réduction du score (56). Fernandez est dangereux (58) puis Surjak inscrit le quatrième but parisien de la tête, après un coup-franc de Dahleb (77). Tours va revenir en toute fin de rencontre sur un doublé de son buteur Delio Onnis (83 et 87). Le score n’évoluera plus malgré une dernière tentative de Toko (90) et le PSG prépare par un succès son match capital face à ces mêmes Tourangeaux en Coupe de France. Peyroche est satisfait : » La vérité sortira du match de Coupe de France. Sur l’engagement, nous avons inscrit un but, puis deux et trois en 20 minutes. Nous possédions un avantage énorme et nous avons été trop décontractés ».
