25/09/1981 PSG-Lyon
PSG – OLYMPIQUE LYONNAIS 2-0 (1-0)
le programme du match
vendredi 25 septembre 1981
Championnat (11ème)
Lieu du match : Parc des Princes (23922 spectateurs)
Arbitre : Claude Bouillet
Composition du PSG : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Philippe Col, Jean-Claude Lemoult, Luis Fernandez, Ivica Surjak, Sarr Boubacar, Dominique Rocheteau, Michel N’Gom
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche
Buts PSG : Ivica Surjak (1) Michel N’Gom (82)
Avertissements : Philippe Col (72) Jean-Marc Pilorget (85)
Remplacement : Daniel Sanchez pour Sarr Boubacar (78)
N’Gom échoue face à la défense lyonnaise
Retour de Boubacar (fin de suspension) et de Rocheteau, malgré une douleur persistante au talon d’Achille. Le buteur parisien est enfin de retour pour cette rencontre entre deux des outsiders du championnat. L’équipe parisienne ne perd pas de temps et marque dès la première minute du match une attaque sur le côté droit de Surjak permet à N’Gom de récupérer le ballon dans la sur face de réparation, il pivote alors et retrouve Surjak qui marque d’une frappe violente du pied droit (1). Paris poursuit sur ce rythme, Fernandez échoue face à Topalovic (3) puis Rocheteau frappe à son tour sur le gardien lyonnais (5). Après une domination territoriale côté parisien, les Lyonnais se montrent à leur tour menaçants et Chiesa voit sont tir repoussé par le montant (27).
le but de Surjak, après 58 secondes de jeu…
En seconde période, Paris subit et Baratelli sauve son camp sur une tête de Chiesa (52), sur une frappe de Nikolic (60) puis sur une tête de Lubin juste à côté du cadre (63). Paris a fait le dos rond et va doubler la mise sur une belle contre-attaque. Après une course de quarante mètres, Surjak transmet le ballon à N’Gom sur le côté gauche. L’attaquant parisien élimine son adversaire direct d’un crochet intérieur, puis glisse le ballon dans les buts, d’une frappe au premier poteau (82). Soulagement pour les Parisiens, victorieux face à Lyon et pour Rocheteau, qui a tenu parfaitement sa place après une période d’environ cent jours d’angoisse et de blessure.
