25/04/1978 PSG-Monaco
PARIS SG – AS MONACO 1-2 (1-2)
le programme du match
mardi 25 avril 1978
Championnat (36ème)
Lieu du match : Parc des Princes (32440 spectateurs)
Arbitre : Guy Mouchotte
Composition de l’équipe : Daniel Bernard, Jean-Marc Pilorget, Pierre Bajoc, Eric Renaut, Philippe Jean, Jean-Pierre Adams, Jean-Claude Lemoult, François M’Pelé, Philippe Redon, Carlos Bianchi, François Brisson.
Capitaine : François M’Pelé
Entraîneur : Jean-Michel Larqué
Buts : Carlos Bianchi (31) pour le PSG, Alfred Vitalis (2), Raoul Noguès (41)
Remplacements : Gilles Brisson pour Jean-Claude Lemoult (63), Hervé Porquet pour François Brisson (63)
Onnis en duel avec Renaut et Bajoc
Rencontre au sommet pour le PSG au Parc des Princes, face au leader (et futur champion de France) monégasque. Devant 35.000 spectateurs environ, le PSG débute très mal et encaisse un but par Vitalis, qui élimine Renaut et trompe Bernard (2). Les Parisiens, dépassés pendant un quart d’heure réagissent enfin : M’Pelé frappe au ras du poteau (16) puis une volée de Redon passe juste à côté du cadre (25). L’inévitable Carlos Bianchi égalise en reprenant de la tête un corner de Redon, malgré les protestations monégasques, le ballon semblant ne pas être entré dans le but (31).
Nogues, décisif face au PSG
Monaco reprend sa domination, une tête de Noguès est repoussée par le poteau (40) mais ce même Noguès dans des conditions identiques inscrit quelques secondes plus tard le second but des visiteurs (41). La seconde période est moins intense, Monaco, attentiste, défend avec acharnement son avantage. M’Pelé profite d’une erreur d’Ettori pour se retrouver en position de marquer, mais le gardien monégasque se rattrape et plonge dans les pieds de l’attaquant parisien (56).
Pierre Bajoc en action
Carlos Bianchi rate une dernière occasion (65) puis Chaussin frappe sur le poteau (71). Monaco s’impose logiquement en leader et se rapproche du titre de champion. Larqué beau perdant, analyse le match : « Le score peut paraître sévère mais sur l’ensemble de la rencontre, les Monégasques étaient plus forts que nous ».
