02/04/1976 Troyes-PSG

PSG_1972

TROYES – PARIS SG 1-1 (1-1)

le programme du match (collection : la memoire du psg)

le programme du match (collection : la memoire du psg)

vendredi 2 avril 1976

Championnat (30ème)

Lieu du match : Stade de l’Aube (Troyes) (7000 spectateurs)

Arbitre : Jean-Claude Martin

Composition de l’équipe : Ilija Pantelic, Dominique Lokoli, Jacky Novi, Humberto, Jean-Marc Pilorget, Francis Piasecki, Lionel Justier, Denis Bauda, Jean-Pierre Tokoto, François M’Pelé, Guy Nosibor.
Capitaine : Humberto
Entraîneur : Just Fontaine

Buts : Guy Nosibor (5) pour le PSG, Georges Martinez (33) pour Troyes

Fontaine reconduit l’équipe victorieuse face à Nîmes. Pendant la première demi-heure, Paris contrôle le jeu et domine largement son adversaire. Mais la malchance est au rendez-vous malgré l’ouverture du score rapide pour le PSG : Piasecki reprend une passe de Tokoto et frappe sur la transversale. Heureusement, Nossibor a suivi et ouvre le score (5). Tokoto touche à son tour du bois sur une frappe puissante (9) puis l’attaquant franco-camerounais récidive et frappe sur l’autre montant à la demi-heure de jeu (32). Au tour de Justier de se présenter seul face au gardien mais le milieu de terrain du PSG tire à côté (23). Coup de théâtre avant la pause : le troyen Martinez, pourtant en position de hors-jeu, se présente seul face à Pantelic. Le gardien parisien repousse sur… l’attaquant adverse qui n’a plus qu’à pousser le ballon dans le but vide (33). Après la pause, l’arbitre prend une nouvelle décision contestable : il oublie de siffler un nouveau hors-jeu en défaveur du PSG, le joueur de Troyes Martinez reprend de la tête sur le poteau puis Pantelic, dans un étonnant réflexe, se saisit du ballon (51). Les Troyens réclament la validation du but (le ballon semble avoir franchi la ligne) mais l’arbitre ne cède pas. La partie se poursuit sur un rythme haché et violent, Pantelic sauve son camp en fin de rencontre (83 et 89). Le PSG malchanceux avant la pause peut s’estimer soulager du partage des points alors que la victoire semblait à sa portée.