22/05/1981 PSG-Lyon
PARIS SG – OLYMPIQUE LYONNAIS 1-1 (0-1)
le programme du match
vendredi 22 mai 1981
Championnat (36ème)
Lieu du match : Parc des Princes (21150 spectateurs)
Arbitre : Mohamed Benali
Composition de l’équipe : Dominique Baratelli, Jean-Noël Huck, Thierry Morin, Jean-Marc Pilorget, Philippe Col, Jean-Claude Lemoult, Luis Fernandez, Mustapha Dahleb, Nambatingué Toko, Dominique Rocheteau, Sarr Boubacar.
Capitaine : Dominique Baratelli
Entraîneur : Georges Peyroche
Buts : Dominique Rocheteau (60) pour PSG, Simo Nikolic (6) pour Lyon
Dahleb en duel avec Fournier
Match pour la cinquième place entre le PSG (cinquième) et Lyon (sixième). Mais la Coupe de France a déjà rendu son verdict : Bordeaux est éliminé et cette cinquième place a peu de chance d’être qualificative pour une Coupe d’Europe. Abel est absent, remplacé par Huck.
Rocheteau échoue face au gardien lyonnais
Les Lyonnais sont les premiers en action et ouvrent rapidement le score sur un centre de Tigana repris acrobatiquement de la tête par Nikolic (6). Les Parisiens sont malheureux : un coup-franc de Rocheteau échoue sur le poteau droit. Boubacar a suivi, mais sa reprise est contrée (15). Le match est ouvert et Paris rejoint les vestiaires avec un but de retard. Après la pause, Baratelli dévie un coup-franc de Moizan puis Huck sauve sur sa ligne de but (52), un centre de Dahleb pour la tête de Fernandez qui termine sa course sur le poteau (58) : le public est admiratif devant la volonté des deux équipes.
Tentative de la tête signée Dahleb
Deux minutes plus tard, Rocheteau trouve enfin l’ouverture : sur un service de Boubacar, il dribble le gardien lyonnais Chauveau et marque du pied gauche dans le but vide (60). Lyon comme Paris essaye de forcer jusqu’au bout la décision mais le score n’évoluera plus. Peyroche considère le résultat logique : « J’aurai préféré un score de 2-2 ou 3-3. Le match était bizarre, il y avait de grands boulevards de part et d’autre. Cette cinquième place nous suffit en elle-même mais il nous reste encore un infime espoir d’être européen. On va rêver un peu même si nous ne pouvons plus guère compter que sur les autres ».
