03/09/1982 PSG-Nantes

PSG 1972

PSG – FC NANTES 2-1 (0-0)

le programme du match

le programme du match

vendredi 3 septembre 1982
Championnat (5ème)
Lieu du match : Parc des Princes (40809 spectateurs)
Arbitre : Daniel Lambert

Composition du PSG : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Philippe Col, Luis Fernandez, Osvaldo Ardiles, Mustapha Dahleb, Nambatingué Toko, Cees Kist, Michel N’Gom
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche

Buts PSG : Cees Kist (54) Dominique Bathenay (90 sp), Fabrice Picot (78) pour Nantes
Avertissement : Mustapha Dahleb (56)
Remplacements : Yannick Guillochon pour Mustapha Dahleb (71), Dominique Rocheteau pour Michel N’Gom (82)

Ardiles, décisif face aux Canaris

Ardiles, décisif face aux Canaris

Choc au sommet pour le PSG face au leader du championnat, Nantes. Paris aligne une équipe offensive avec trois attaquants (N’Gom, Kist et Toko) et Rocheteau sur le banc des remplaçants. Le PSG débute bien, avec des occasions de but pour Fernandez (13), Bathenay sur coup-franc (18), N’Gom (20) et Dahleb (23). Nantes se rebiffe, et se montre dangereux sur une tête de Touré (25), des frappes de Muller (31) et Baronchelli (40).

Kist en duel avec Rio

Kist en duel avec Rio

Paris repart de plus belle à la pause et ouvre le score : une frappe de N’Gom est repoussée difficilement par le gardien nantais Bertrand-Demanes, Kist au milieu des défenseurs canaris reprend et marque du bout du pied son premier but parisien (54). Après ce but, le PSG joue prudemment et Nantes aurait pu bénéficier d’un penalty après une faute d’Ardiles sur Tusseau (67). Les Canaris reviennent au score sur un centre d’Adonkor repris par Picot (78). On s’achemine vers un score nul et logique quand Ardiles pénètre dans la surface de réparation côté droit et s’effondre après un contact avec le gardien nantais. l’arbitre siffle un penalty  malgré les protestations des visiteurs, et Bathenay donne la victoire au PSG (89).

Toko taclé par Bossis devant Adonkor

Toko taclé par Bossis devant Adonkor

Ardiles confirme la faute du nantais : « Le gardien m’a attrapé la jambe avec sa main et la faute est incontestable. Mais elle était inutile, car à l’endroit ou j’étais, je ne risquais pas de faire grand dégât ». Peyroche apprécie la performance de ses joueurs : « Notre victoire me parait tout à fait méritée. Battre le leader est une bonne performance, j’ai l’impression que mon équipe progresse de manière régulière. »

 

 

 

le résumé du match :