06/02/1982 PSG-Lens
PSG – RC LENS 2-1 (1-0)
le programme du match (couplé avec celui de Strasbourg)
samedi 6 février 1982
Championnat (26ème)
Lieu du match : Parc des Princes (15883 spectateurs)
Arbitre : Jacques Ferrary
Composition du PSG : Dominique Baratelli, Philippe Col, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Raymond Domenech, Jean-Claude Lemoult, Luis Fernandez, Ivica Surjak, Nambatingué Toko, Dominique Rocheteau, Sarr Boubacar
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche
Buts : Raymond Domenech (38) Michel N’Gom (84) pour le PSG, Teitur Thordarsson (77) pour Lens
Remplacements : Mustapha Dahleb pour Sarr Boubacar (59), Michel N’Gom pour Nambatingué Toko (78)
Sénac intervient devant Lemoult et Rocheteau
Dahleb, qui a purgé ses deux matchs de suspension est de retour sur le banc de touche, Paris souhaite enchaîner après sa victoire à l’arrachée contre Strasbourg au Parc. Le début de rencontre est décevant, et c’est un homme que l’on attendait pas qui va débloquer la situation. Sur un centre de Col côté droit, le ballon est repoussé vers Domenech qui dribble trois adversaires, et marque d’une frappe en coin imparable (38).
N’Gom, héros du match contre Lens
C’est son premier but – et dernier – but avec le PSG. Lens ne se procure aucune occasion de but jusqu’en fin de rencontre, Petlier teste Baratelli de la tête (74) puis Thordarsson égalise, sur un centre de Peltier (77). Pars est sonné mais son joker N’Gom va faire la différence. Huit minutes après son entrée en jeu, l’attaquant parisien profite d’un centre de Domenech pour glisser à Rocheteau, qui frappe sur le montant. N’Gom a suivi et donne la victoire à Paris (84). Le PSG est invaincu depuis huit matches, et occupe la cinquième place au classement et si les Parisiens s’imposent à Sochaux lors d’un match en retard, ils reviendront à trois points des leaders. Ce n’est pas suffisant pour Peyroche, qui n’apprécie pas la performance dessiens : « Ce soir, ce fut un mauvais match, un match raté. Et nous nous en tirons bien après cette égalisation en fin de rencontre. Nous avons surtout manqué de vivacité, il faut absolument que nous retrouvions notre sérénité. »
