03/08/1982 PSG-Atletico Mineiro

PSG 1972

PSG – ATLETICO MINEIRO 0-3 (0-2)

Des débuts difficiles pour Toko et Paris au Parc des Princes

Des débuts difficiles pour Toko et Paris au Parc des Princes

mardi 3 août 1982
Tournoi de Paris (1/2)
Lieu du match : Parc des Princes (23000 spectateurs)
Arbitre : Jean-Marie Lartigot

Composition du PSG : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Luis Fernandez, Jean-Claude Lemoult, Pascal Zaremba, Osvaldo Ardiles, Nambatingué Toko, Sarr Boubacar, Michel N’Gom
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche

Remplacements : Philippe Col pour Jean-Claude Lemoult (46), Franck Tanasi pour Jean-Marc Pilorget (60), Gilles Cardinet pour Michel N’Gom (75)

Buts : Heleno 40,  Eder 44, Reinaldo 74 pour l’Atletico Mineiro

Des débuts difficiles pour Ardiles

Des débuts difficiles pour Ardiles

C’est la reprise au Parc des Princes pour le Tournoi de Paris, avec les grands débuts de la star Osvaldo Ardiles. Paris est privé de Rocheteau, qui souffre des ligaments du genou, alors que Safet Susic assiste à la rencontre depuis les tribunes, la Fédération Yougoslave n’ayant pas délivré dans les délais une autorisation de participer à cette rencontre. Après deux tentatives de Zaremba (3, 7), les Brésiliens montent en régime et ratent de peu l’ouverture du score sur une tête de Reinaldo (18). Après une nouvel exploit de Baratelli qui sort victorieux d’un duel avec Reinaldo (38),

Eder, intenable face aux parisiens

Eder, intenable face aux Parisiens

Cerezo frappe sur le poteau et Heleno qui a suivi pousse le ballon dans les filets (40). Eder, après un exploit personnel et une frappe puissante sous la barre double logiquement la mise juste avant la pause (40). Après un nouvel essai de Renato (48), le PSG réclame en vain un penalty après une faute sur Fernandez (51). Mais les Brésiliens sont trop forts, Renato (67) et Eder (70) sont maladroits, avant un troisième but signé Reinaldo après une action de grande classe : série de trois dribbles, puis une frappe puissante (74). Ardiles et Paris à bout de souffle s’inclinent logiquement comme le précise la star argentine : « on a été battu par la meilleure formation en Amérique du Sud. Pour moi, cela n’a pas été facile : passer de la plage à un match de ce niveau, ce n’est pas si simple ».

le résumé du match :