17/10/1981 Nice-PSG

PSG 1972

OGC NICE – PSG 2-2 (1-1)

Rocheteau face aux Aiglons

Rocheteau face aux Aiglons

samedi 17 octobre 1981
Championnat (14ème)
Lieu du match : Le Ray (Nice) (5845 spectateurs)
Arbitre : Michel Vautrot

Composition du PSG : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Dominique Bathenay, Philippe Col, Jean-Claude Lemoult, Luis Fernandez, Mustapha Dahleb, Sarr Boubacar, Dominique Rocheteau, Michel N’Gom
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche

Buts : Michel N’Gom (44) Luis Fernandez (61) pour le PSG, Daniel Bravo (30) Daniel Bravo (85 sp) pour Nice
Avertissements : Sarr Boubacar (10) Luis Fernandez (38)
Remplacement : Daniel Sanchez pour Mustapha Dahleb (78)

Surjak (avec la sélection yougoslave) est absent, Dahleb est de retour au poste de meneur de jeu. Le début de match est très viril, avec plus d’une trentaine de fautes (on n’en décomptera 56 au final). Le match est équilibré jusqu’à la demi-heure de jeu, avec une occasion de but pour Morabito (11) puis une belle frappe de Rocheteau (28). Deux minutes plus tard, le jeun espoir Daniel Bravo profite d’une erreur de la défense centrale parisienne pour ouvrir le score (30). Paris va revenir au score juste avant la pause, sur un centre de Bathenay converti en but par N’Gom d’une frappe puissante dans un angle réduit (44). Nice croit prend l’avantage sur une tête de Curbelo, mais l’arbitre refuse le but pour une faute préalable sur Baratelli (55). Le stade gronde puis se tait quelques minutes plus tard : sur un coup-franc de Dahleb recentré par Boubacar, Fernandez donne l’avantage aux siens d’une magnifique reprise de volée (61). Paris va devoir tenir 30 minutes et semble avoir match gagné lorsque Buscher s’effondre sur un tacle de Lemoult. Le joueur a joué correctement le ballon mais l’arbitre Michel Vautrot décide alors de siffler penalty transformé par Bravo (85). Paris méritait mieux et laisse échapper un succès qui lui tendait les bras… Peyroche réagit avec philosophie : « On méritait mieux, surtout avec ce penalty imaginaire. Mais il faut accepter cette décision. »