08/02/1981 PSG-Nantes

PSG 1972

PARIS SG – FC NANTES 0-2 (0-0)

le programme du match

le programme du match

dimanche 8 février 1981

Championnat (26ème)

Lieu du match : Parc des Princes (36208 spectateurs)

Arbitre : Michel Vautrot

Composition de l’équipe : Dominique Baratelli, Jean-Marc Pilorget, Thierry Morin, Carlos Abel Braga, Antoine Garceran, Dominique Bathenay, Didier Toffolo, Luis Fernandez, Nambatingué Toko, Dominique Rocheteau, Sarr Boubacar.
Capitaine : Dominique Bathenay
Entraîneur : Georges Peyroche

Buts : Henrik Agerbeck (64) Eric Pécout (90) pour Nantes

Remplacement : Jean-Noël Huck pour Didier Toffolo (72)

Agerbeck face à Garceran

Agerbeck face à Garceran

Retour de Toko, Toffolo est titulaire a milieu de terrain à la place de Huck. Contre le leader du championnat, le PSG confirme en début de rencontre son inefficacité chronique devant les buts lorsque Boubacar reprend un centre parfait de Pilorget mais frappe à côté du cadre (11). Les Nantais réagissent immédiatement et frappent sur le poteau par Pécout (18). Sur une action de Toko et Rocheteau, Boubacar rate une nouvelle occasion de but (34) et le score reste vierge à la pause.

débordement de Huck

débordement de Huck

Paris domine au retour des vestiaires mais les Nantais ouvrent le score sur une frappe croisée d’Agerbeck (64). Huck entre en jeu à la place de Toffolo (72) et les Canaris sont toujours dangereux : Pécout, peu en réussite, frappe une nouvelle fois sur le poteau (78).  Abel rate l’égalisation en manquant une reprise de volée à bout-portant face aux buts nantais (83).

Henri Michel et Dominique Baratelli vont se retrouver rapidement en Coupe de France

Henri Michel et Dominique Baratelli vont se retrouver rapidement en Coupe de France

C’est la fin des espoirs parisiens, à la dernière minute du match, Pécout part en contre, marque un second but et conforte l’avance des Canaris (90). Nouvelle défaite pour le PSG, les Parisiens n’ont plus marqué de but en championnat depuis… huit heures ! Peyroche réagit avec philosophie et fair-play après cet échec : « Il n’y a rien à dire, nous avons perdu contre un adversaire meilleur que nous. »